PITCH :
Samira va enfin acheter sa voiture, mais il faut se décider sur le modèle. La nuit tombe, les ombres rodent…

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BIO DU RÉALISATEUR :
Frédéric Bayer Azem découvre un jour Les Cheyennes de John Ford qui lui laisse une empreinte indélébile et une profonde envie de se diriger vers le cinéma.

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MOT DU COMITÉ - par Justine Alleron :
Littéralement parquée, Samira est d'abord la protagoniste d'un spectacle commenté à travers un écran de vidéosurveillance. Réifiée, comme dans une télé-réalité, elle devient le témoin de la violence systémique sociétale. L'atmosphère est rendue trouble par l'image, nappée de couleurs sorties d'un rêve et de lumières vaporeuses, qui contraste avec la condition de Samira, à la fois sainte sur l'autel mécanique d'un capot de voiture et femme impuissante face aux aboiements d'un chien.

PITCH :
Sur un coup de tête, Titouan embarque son ami rappeur en Bretagne pour réaliser le clip de ses rêves.

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BIO DU RÉALISATEUR :
En 2017, il réalise son premier film auto produit en Bretagne, Ailleurs. Il met un terme à ses études cinématographiques suite à un repérage documentaire au Sénégal organisé par le CNRS. De retour en France, il réalise des films expérimentaux avant de retrouver la Bretagne pour le tournage de Titou.

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MOT DU COMITÉ - par Simon Auger :
Le film est toujours affaire de décalage : entre clipper en ville et en campagne, la nonchalance d'un rappeur et le sérieux de son acolyte réalisateur, leur perception et celle d'une béotienne du hip-hop... D'abord comique, ce décalage dévoile une part mélancolique lorsqu'est pleinement révélée la sensibilité de Titouan, réalisateur cachant une vision artistique plus attentive qu'elle n'y paraît.

PITCH :
Suite à un tremblement de terre, le corps d’un homme est découvert dans la baie de Naples. Selon la police l’homme se serait suicidé il y a 40 ans. En quête de son identité, elle contacte Dino et sa fille, Victoria, pour un test ADN. Lors de ce voyage inattendu l’un auprès de l’autre, la jeune fille exhume le passé mystérieux de son père pendant que Dino se plonge, malgré lui, dans les paysages de son enfance.

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BIO DE LA RÉALISATRICE :
Marie Larrivé est peintre et réalisatrice. Après des études de lettres en hypokhâgnes et khâgnes, elle a étudié à l'ENSAD à Paris. Formée sur les techniques de la stop motion, de l'animation traditionnelle et de la peinture, elle explore différents types de narration.

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MOT DU COMITÉ - par Romane Benatre :
À travers l’histoire de Dino, Noir-Soleil dépeint avec pudeur cette ambivalence de la vie et de la mort, intrinsèque à cette ville qui n’est pas nommée, mais que l’on reconnaît. Le passé sombre de Dino et le danger permanent qui plane au-dessus de ce décor permettent pourtant de sublimer avec douceur cette relation père-fille qui reprend peu à peu vie.